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Le Monde de NEOMA

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Dans le cadre du programme Global 1000 de NEOMA, LUCAS CATTANEO est parti 6 mois étudier à l’université d’économie et de management, la Bocconi (Milan). Il revient sur les moments forts de cette expérience.

La Bocconi, à la hauteur de sa réputation

« Le niveau est très élevé sur des sujets très pointus. En finance, en droit, en commerce international… on n’est plus dans un cursus généraliste. L’université insiste beaucoup sur la spécialisation des intervenants. Par exemple, dans un cours sur les relations business/ gouvernement, c’est une pointure qui est venue pur nous parler du domaine de la santé en particulier. »

« Il faut donc travailler sans relâche, sans quoi le retard s’accumule extrêmement vite. C’est intense, il faut être constant, il faut s’impliquer. Passé ce temps d’adaptation, on ressort de cette formation avec un niveau excellent. »

James Robinson, professeur de politique et gestion de la santé, à Berkeley
Fabio Rugge, recteur de l'université de Pavie
Jose Luis Chicoma, ancien ministre de la Production au Pérou

Des acteurs du monde politique et économique venus des quatre coins du monde

« Moi, je suis très intéressé par les relations internationales, et dans ce domaine, la Bocconi est très ouverte. Comme l’école est reconnue dans le monde entier, elle attire des personnalités prestigieuses. Le ministre de la Production péruvien, les diplomates italiens de l’OTAN, la ministre de la Santé rwandaise… C’est extrêmement varié. »

Des concerts de pianiste renommé en plein air.
Des expositions à foison.
Le fameux opéra de Milan.

De nouvelles animations culturelles chaque semaine

« L’ouverture culturelle de Milan est incroyable. Chaque semaine, il y a un thème différent. Il y a eu la semaine du piano : sur toutes les places, petites ou grandes, il y avait une représentation gratuite d’un pianiste renommé. Puis il y a eu les visites nocturnes dans tous les musées, la semaine des restaurants qui proposaient un plat pour 7 euros…. »

La Galleria Vittorio Emanuel II

La jovialité des commerçants

« Bien sûr, il y a la gastronomie italienne.  Elle nous plonge toute de suite dans le folklore local. Ce n’est pas cher, et c’est de très bonne qualité. C’est facile de manger en dehors de chez soi. Et surtout, les commerçants sont hyper accueillants, très joviaux. »

L'étudiant Lucas Cattanéo